Escalade à l’ombre de l’Acropole de Munich

bloc: Des séquences de mouvement explosives sont affichées sur des itinéraires d’une hauteur maximale de quatre mètres et des tapis de sécurité en dessous. L’athlète qui résout le plus de rochers en le moins de tentatives gagne. Les mouvements dynamiques et les postures extrêmes sont les particularités du bloc.

pistes: Attachés à une corde, les athlètes grimpent les uns après les autres sur un parcours en surplomb limité à six minutes. Celui qui obtient le point le plus élevé gagne. Hommes et femmes s’affrontent sur des parcours différents. Les éléments de sécurité (corde, crochet) ne doivent pas supporter le mouvement – analogue à l’escalade libre dans la nature.

La rapidité: Les grimpeurs sont sécurisés par le haut (toprope) et sprintent sur deux voies parallèles standardisées sur un mur de 15 mètres de haut. Hommes et femmes s’affrontent sur des parcours identiques.

Des records du monde officiels ont été atteints depuis la normalisation des murs en 2007. Le record du monde masculin actuel est de 5,20 secondes – établi par l’alpiniste indonésien Veddriq Leonardo en 2021. La détentrice du record du monde féminin est l’athlète polonaise Aleksandra Miroslaw, qui a égalé son record aux Jeux olympiques de Tokyo – avec 6,84 secondes.

Blocs et plombs : C’est la forme de compétition puisqu’elle se déroulera comme une épreuve combinée aux Jeux Olympiques de Paris 2024.

Source : DAV



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