Épaulettes: "Nous aussi pour le Scudetto. Ridicule de ne pas l’admettre"

Voici les mots de l’entraîneur de la Campanie à la veille du match contre Viola : « On va jouer jusqu’au bout »

De notre correspondant Maurizio Nicita

& commat; gère 50

9 avril
– Château Volturno (Ce)

« Le stade plein est comme un manteau qui vous enveloppe et peut faire de vous un super-héros. » Luciano Spalletti surfe sur l’enthousiasme d’une ville qui pousse désormais ses coups de cœur avec conviction et renforce le concept. « J’y ai toujours cru, mais c’est le moment où j’y crois le plus. »

EN PLEINE COURSE

« Si cela ne dépend que de nous, nous le verrons en cours de route. Maintenant, nous devons penser à notre course, avoir une idée de ce à quoi nous voulons nous attendre. À ce stade, ce serait ridicule si nous disions que nous sommes pas en lice pour le Scudetto. peu importe les résultats des autres. Être dans une bagarre, avec tout ce qu’on a vécu, c’est signe qu’on parle de vrais professionnels. Signe qu’ils s’entraînent de façon très sérieuse, sinon « Ceux qui ne se sont pas entraînés à un rythme élevé alors ce n’est pas qu’en match ils peuvent inventer et jouer aux rythmes de l’Atalanta. On a toujours fait l’idée du football qu’on veut développer, quels que soient les résultats. Les difficultés sont plus loin de chez nous et si nous les avons gagnés … Quelques épisodes se sont retournés contre nous, à Maradona. Comment perdre sans subir un tir au but. Le fait que le stade soit plein était la pièce qui nous manquait. Si nous avons difficulté on se tournera vers les tribunes… Cela restera une belle histoire. peut parler d’échec ».

LES ADVERSAIRES

Spalletti fait l’éloge de ses adversaires et prévient : « La Fiorentina doit être créditée au club. Parce qu’il a bien travaillé sur le marché des transferts et dans le choix du manager. La détermination des Italiens en Coupe d’Italie même à 5-2 contre nous, pour presser, c’est le meilleur moyen de faire grandir une équipe. Ils pratiquent un football moderne, rapide et agressif. Un jeu de haute pression et d’enveloppement sur les ailes et ils attaquent beaucoup à partir de là. Il ne faut pas oublier qu’on en a pris cinq contre eux ».

TU MÉRITES

Mais dans cette course à trois, Spalletti ne mériterait-il pas plus de remporter ce championnat que Pioli et Inzaghi, pour l’histoire qu’il a ? « Je crois que le sentiment et la passion que vit cette ville et c’est ce qu’elle nous transmet chaque jour le méritent. Maintenant, il faut battre ses adversaires et même les pronostics… Pour moi, Pioli, Inzaghi et même Allegri le méritent. pour ce qu’ils font ».

PAS SEULEMENT OSIMHEN

Rrahmani a une influence précoce et pourrait faire place à Juan Jesus, tandis qu’Osimhen est parfaitement remis. « Avoir Victor est important. Mais ne pas l’avoir nous a aidés une fois de plus à comprendre les qualités des autres. Il a confirmé à quel point Mertens, Petagna, Lozano et Elmas sont forts lorsqu’ils entrent et assurent le résultat avec qualité. Zanoli fait le Di Lorenzo. Aujourd’hui, vous louez Lobotka qui donne toujours des débouchés au jeu. Mais quand il n’était pas là, Demme était le meilleur à Turin. Et la différence sera Demme demain quand il entrera. Cette tête là, ce sont ces joueurs-là. faire la différence. Si je l’avais fait jouer plus Demme aurait fait comme Lobo. Si Mertens a peu joué c’est de ma faute. Il aurait mérité plus pour la qualité qu’il met à l’entraînement. Je reste convaincu qu’il a tant donné à la cause et en plus je dois donner le meilleur. Avec des gens comme lui c’est facile de travailler. Je suis content d’avoir affaire à des gens comme ça. »

ARRÊTER LA GUERRE

Initiative flash mob contre la guerre demain, organisée par Radio Kiss Kiss. « Il a déjà dit beaucoup de choses. Mais on peut aller plus loin. Cette guerre est un poison qui pénètre dans nos foyers et ne nous laisse pas indifférents. Chacun fait ce qu’il peut. La guerre tue ceux qui la subissent mais elle tue aussi ceux qui réussissent dans la vie ».



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