Épaulettes: "Les critiques du président ? Il est probablement habitué"

A la veille du match à Empoli, l’entraîneur du Napoli relance : « Il faut penser au présent et gagner les matchs. Il y a du temps pour mon avenir. »

De notre correspondant Maurizio Nicita

& commat; gère 50

23 avril
– Château Volturno (Ce)

Horizon court, très court. Luciano Spalletti ne pense qu’au match contre Castellani « Mon avenir est mon présent, il s’appelle Empoli. Tout le reste il y aura encore du temps aux boules pour en discuter. Maintenant, vous devez gagner ces 5 matchs ». La question faisait référence au fait qu’avec un contrat d’une durée d’au moins un an, il n’y a aucun problème à discuter avec De Laurentiis. Et quand on parlait aussi des critiques que le président faisait à son entraîneur au sujet des taux de change. Le technicien s’est montré déçu (mais c’est sans doute à cause des blessures qui n’en finissent pas) : « Je me fiche des critiques du président, que je n’ai pas rencontré, il a sans doute l’habitude. Mais c’est facile avec le recul. J’assume la responsabilité des décisions que je prends. Je n’ai pas rencontré le président mais il a mis à disposition ceux dont nous avons besoin. Maintenant, c’est à nous de ressentir cette situation sur nous ».

Se sentir sur

Cela devient le nouveau mantra que Spalletti explique ainsi. « Cela signifie que vous devez ressentir la faim d’Empoli. Sentir la responsabilité des fans amoureux de Naples. Sentir que vous voulez aider le but. Si tu t’en fous et que tu ne le sens pas, tout change ». Cela ressemble presque à un ultimatum pour leurs joueurs après la dernière performance décevante.

Problèmes de formation

Zanoli attrapé par une gastro est parti pour Empoli mais on ne sait pas s’il réussira (Malcuit prêt et Primavera Barba appelé), Elmas n’est pas sorti blessé comme Lobotka et Di Lorenzo, en plus de Koulibaly disqualifié. « Mais je ne regarde pas en arrière. Nous devons être capables de gagner avec qui nous sommes. Cependant, certaines choses se sont produites… ».

Doutes entre les deux

Il y a aussi un problème de condition, dans l’entrejeu il faut trouver des solutions différentes, comme en défense : « Demme fait certainement partie de ceux qui vont bien et peuvent jouer. Zielinski ? J’attends de lui qu’il retrouve la tranquillité qu’il a toujours eue en tant qu’homme et en tant que joueur. Sinon avec la pression ça devient difficile ».



ttn-fr-4