ENTRETIEN. Après le verdict de la date de Tinder : qu’est-ce qui peut et qu’est-ce qui ne peut pas ? « Le sexe brutal n’est pas une excuse pour le viol »

Un flic qui a violé son rendez-vous Tinder écope de deux ans de prison avec sursis. Auparavant, le ministère public avait demandé l’acquittement, car « rentrer chez soi est un signal ». Que faire lors d’un premier rendez-vous ? Faut-il demander la permission pour tout ? Et la spontanéité n’est-elle pas ainsi perdue ? Nous avons interrogé Liesbet Stevens, professeur de droit pénal sexuel (KU Leuven) et directeur adjoint de l’Institut pour l’égalité des femmes et des hommes.



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