Enquête sur un policier qui va en club échangiste pour 200 euros de l’heure : « Un flic peut faire des boulots d’appoint, mais pas comme gigolo »

Le préfet de police bruxellois Michel Goovaerts a ouvert une enquête interne sur l’un de ses policiers, qui travaille comme travailleur du sexe. Pour 200 euros de l’heure, l’inspecteur ‘Maxime’ fait des trios et fréquente des clubs échangistes, tout en prenant un arrêt maladie : « Mon rôle ? Être moi-même charmant, vous mettre à l’aise et bien savoir ce que je dois faire pour que vous vous sentiez comme une femme », explique le policier dans sa petite annonce payante.