Enquête sur la police, qui n’a pas enquêté sur la pédopornographie chez Donny M pour le meurtre de Gino (9).

L’Inspection de la justice et de la sécurité a ouvert une enquête sur les actions de la police dans l’affaire du meurtre de Gino, 9 ans, de Kerkrade. Dès 2021, avant le meurtre, de la pédopornographie a été découverte sur le téléphone du suspect Donny M. Aucune enquête n’a été menée à l’époque.

Ce n’est qu’après l’arrestation de Donny M. dans cette affaire que la pédopornographie a été impliquée dans l’enquête contre lui. En 2021, cette découverte n’a eu aucune conséquence juridique directe pour lui, aucune enquête n’a suivi. Le pouvoir judiciaire a précédemment admis que les informations n’avaient pas été traitées correctement.

Selon l’Inspection, de nouvelles informations ont émergé d’une enquête en cours sur M., qui a soulevé de nouvelles questions sur le travail de la police. « Cette information signifie que l’Inspection JenV veut savoir comment la police a pris ses décisions et effectué son travail après la découverte de la pédopornographie au téléphone. » Les informations concernées n’ont pas été divulguées.

Téléphone négligé

Lorsque la police a découvert la pédopornographie au début de 2021, elle était au courant du passé sexuel de Donny M. Il avait déjà été reconnu coupable d’abus sexuels sur mineur. Mais le téléphone portable avec la pédopornographie s’est retrouvé dans une poubelle avec la police, et a ensuite été oublié, justice reconnue en septembre de l’année dernière.

Gino van der Straeten, 9 ans, a disparu le 1er juin 2022 et son corps a été retrouvé trois jours plus tard à Geleen. Selon la justice, après son enlèvement à Kerkrade, le garçon agressé sexuellement et assassiné la nuit même. Donny M. en a maintenant un confession faite à propos de l’enlèvement et du meurtre de Gino.

Enquête formelle

L’Inspection Justice et Sécurité n’est pas autorisée à mener une enquête formelle sur les méthodes de travail de la police et du ministère public. C’est pourquoi une « orientation » est maintenant effectuée en premier. S’il s’avère qu’une enquête officielle est nécessaire, celle-ci peut être effectuée par le procureur général de la Cour suprême.



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