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Clèves à l’avant-garde de l’expansion du photovoltaïque dans les bâtiments publics
Plusieurs villes de Rhénanie du Nord-Westphalie, de Hesse et du Bade-Wurtemberg sont pionnières dans l’installation de systèmes photovoltaïques sur les toits publics. C’est le résultat d’une évaluation du registre de données de base du marché de l’Agence fédérale des réseaux réalisée par Viessmann Climate Solutions, pour laquelle les données de 194 villes de plus de 50 000 habitants ont été analysées, comme l’a rapporté le groupe de médias Funke. Ainsi, Clèves, en Rhénanie du Nord-Westphalie, présente la proportion la plus élevée d’installations solaires dans les bâtiments publics avec 4,69 pour cent, suivie par Offenbach avec 4,59 pour cent, Böblingen avec 3,97 pour cent, Tübingen avec 3,51 pour cent et Marbourg avec 3,44 pour cent. Parmi les villes mentionnées, Tübingen possède le plus grand nombre absolu d’installations photovoltaïques dans les bâtiments publics, avec 101 installations. La proportion la plus faible d’installations dans les bâtiments publics se trouve à Grevenbroich, Bergisch Gladbach et Nordhorn, avec 0,2 pour cent chacun. Au niveau des Länder, Berlin a la part la plus élevée avec 1,93 pour cent, tandis que le Brandebourg arrive en dernière position avec 1,07 pour cent. Selon les informations, seulement 1,1 pour cent des systèmes solaires du pays sont installés sur les toits des bâtiments publics.
Le gouvernement rejette les critiques concernant le manque de temps pour trouver une installation de stockage final
Le ministère fédéral de l’Environnement a minimisé les énormes problèmes de temps lors du choix de l’emplacement d’un dépôt de déchets nucléaires. Il s’agit de “la meilleure sécurité possible pendant une période d’un million d’années”, a déclaré un porte-parole du ministère au Spiegel. On sait depuis un certain temps que les travaux ne seront pas terminés d’ici 2031. Selon un rapport de l’Öko-Institut de Fribourg au nom de l’Office fédéral pour la sécurité de la gestion des déchets nucléaires (BASE), la décision sur l’emplacement d’un dépôt définitif ne pourrait être prise qu’en 2074 au plus tôt, soit 43 ans après la date fixée par la loi. date. Cependant, selon le magazine d’ailleurs, on ne peut pas s’attendre à des « conditions idéales ». La recherche pourrait donc prendre encore plus de temps. BASE n’a pas été surprise par l’année 2074 mentionnée dans le rapport. Selon le rapport, il s’agit de l’Agence fédérale pour le stockage final, qui lui rend compte, et qui avait déjà supposé il y a deux ans que les recherches seraient terminées entre 2046 et 2068. Les quatre années supplémentaires ne sont pas si surprenantes, a déclaré un porte-parole de BASE. Cependant, les gens préconisent depuis longtemps le « meilleur objectif » de 2046. Ils souhaitent identifier un « potentiel d’accélération » pour cela.
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8 août 2024 à 05h11 HE (09h11 GMT)