« Nous espérons nous concentrer davantage sur le suicide, quelque chose qui joue un grand rôle dans la société. Vous n’en entendez pas beaucoup parler lorsqu’il ne joue pas dans votre voisinage. Le sujet est encore un gros tabou. Nous espérons briser cela. Les participants qui ont eux-mêmes de telles pensées peuvent participer. Nous espérons qu’ils oseront demander de l’aide plus tôt ou sauront où aller. Vous n’avez pas besoin d’avoir des pensées suicidaires pour participer. Vous pouvez venir commémorer quelqu’un. Vous pouvez également être la voisine ou la sœur d’une personne ayant des pensées suicidaires. C’est en fait pour tout le monde.
Pourquoi cette ouverture est-elle si importante ?
« Les personnes suicidaires souffrent souvent de dépression et sont incapables de demander de l’aide. La honte y joue un grand rôle. Nous voulons briser la stigmatisation. Les pensées et les sentiments suicidaires n’ont rien de honteux. Cela peut arriver à n’importe qui. »
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