En juillet, l’occupation ralentit (-22 mille unités). Difficulté pour les femmes, les jeunes et les travailleurs entre 35 et 49 ans


Après la flambée de juin, où l’emploi a augmenté de plus de 80 000 postes, en juillet, le marché du travail a commencé à ralentir, grâce à une forte énergie, une inflation galopante et la chute brutale du gouvernement Draghi, qui a accru les incertitudes entre les entreprises. En juillet, l’Istat vient d’annoncer, avec les données provisoires habituelles, que le nombre d’employés a baissé de 22 mille unités (sur le mois). Les chômeurs ont également baissé (-32 mille unités), mais les inactifs ont augmenté, y compris les découragés, + 54 mille personnes de plus en un mois. Le nombre de chômeurs tombe en dessous de 2 millions, la dernière fois que cela s’est produit en avril 2020.

Ils ne détiennent que des contrats à terme

L’emploi a diminué tant dans la composante permanente (-24 000 permanents) que parmi les travailleurs indépendants (-11 000). Le seul type de contrat qui résiste est le CDD, + 13 mille intérimaires (généralement l’outil flexible est celui qui s’active dans les moments très difficiles, comme les moments actuels). Les travailleurs temporaires sont passés à 3 millions 166 000 unités et ont atteint la valeur la plus élevée depuis 1977, la première année de la série historique Istat.

Mauvaises femmes, jeunes et travailleurs entre 35 et 49 ans

Le nombre de salariés reste au-dessus du seuil psychologique des 23 millions (nous sommes à 23 205 000, pour être précis), mais en juillet on assiste à la première baisse depuis août 2021. L’arrêt de l’emploi est fort surtout chez les femmes (-33 mille en un an). mois), les jeunes (-61 000 dans la tranche d’âge 25-34 ans) et les travailleurs de la tranche moyenne d’activité, 35-49 ans, qui perdent 11 000 emplois par mois, 64 000 par an, témoignant d’une forte reprise de Cigs, et une partie du déclin démographique. Le taux de chômage des très jeunes remonte à 24%, et nous conforte dans les dernières places à l’international.

Sur la situation de l’année en clair-obscur

Si l’on regarde le trimestre mai-juillet, par rapport au précédent, février-avril, l’emploi progresse (les bons résultats de juin sont actualisés, grâce au début de la saison estivale et aux embauches saisonnières). Il y a 140 000 emplois de plus, principalement des emplois salariés. Pour les indépendants, le signe est de moins en moins important (-2 mille unités). Au cours de l’année, le nombre de personnes employées a augmenté de 463 000 unités, mais le nombre diminue.



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