D’ailleurs, il n’a pas l’intention de le remplir entièrement de panneaux solaires. Il doit y avoir un « espace de respiration » et de la place pour peut-être rénover ou traverser.

Lors de l’aménagement de ce parc, la commune doit encore tenir compte du fait que dans un avenir proche, il y aura une route reliant le Zuidpolder à l’Eikenlaan jusqu’au Wakkerendijk. Cela devrait devenir le nouvel accès à l’autoroute. Cette nouvelle route pourrait être un facteur limitant pour le parc solaire.

Panneaux obsolètes

Juste au sud de là, entre Eikenlaan et l’autoroute, Eemnes dispose d’un parc solaire depuis huit ans. Cela représente une superficie d’environ six hectares. Ten Have souhaite moderniser les panneaux, désormais quelque peu obsolètes, afin de pouvoir produire ici une énergie solaire encore plus durable.

Il voit également des possibilités de l’autre côté du Rijksweg, même si la tâche est ici un peu plus difficile en cas de propriétaires multiples. Un maximum de huit hectares est disponible pour un champ solaire près de Heidehoek.

Pas d’énergie éolienne

Tout cela mis ensemble, Eemnes peut offrir une bonne alternative aux deux gigantesques éoliennes que la province d’Utrecht a réimaginées sous l’aisselle de l’A1 et de l’A27. Non seulement les politiciens ne veulent absolument pas d’énergie éolienne sur le territoire communal, mais cela s’applique également aux habitants. Cette conclusion ressort clairement des résultats de l’événement de l’année dernière. consultation citoyenne.

« Si nous voulons nous opposer à ces éoliennes, nous devrons trouver une alternative sérieuse. Cela signifie une contribution substantielle. Quand nous parlons d’important, nous parlons de 25 à 30 hectares de champ solaire », a déclaré le directeur de Dorpsbelangen.

Compenser

Eemnes a beaucoup à compenser, car selon Ten Have, ces deux énormes éoliennes équivalent à 36 hectares de champ solaire. Mais avec l’offre que la municipalité fait maintenant, la province peut bien vivre avec la proposition d’Eemnesser, selon l’échevin. Il estime que cela pourra être réalisé en 2028, ce qui est loin de l’échéance des SER de 2030.

Mais c’est d’abord une question de politique locale. Ce soir, le comité examinera la proposition du conseil. Le conseil municipal a dû lui donner un coup dur début juillet, car le projet doit être aux bureaux provinciaux le 10 juillet.

Ce n’est pas tout, car Ten have se rend compte qu’il doit discuter de ce sujet avec les habitants, notamment avec ceux du Wakkerendijk. La question de savoir si le parc solaire doit ou non être construit n’est donc pas ouverte. Cette décision appartient aux politiciens. Par exemple, il sera discuté de la meilleure manière de concevoir ce parc.



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