Ecole, de la carte de formation aux travailleurs précaires et aux protections Inail : voici les nouveautés de la nouvelle année

Les dernières mesures réglementaires, du décret du travail au décret pour sauver les infractions, et certaines initiatives du ministre Valditara ont introduit une série d’innovations pour le monde scolaire, alors qu’aujourd’hui les premières épreuves orales du diplôme d’études secondaires ont commencé. De la carte à 500 euros dont bénéficieront également les enseignants suppléants aux nouvelles protections Inail sur la santé et la sécurité étendues à environ 10 millions d’élèves et d’enseignants. L’alternance école-travail sera de meilleure qualité et la nouvelle année inaugurera également un projet pilote dans 150 écoles du Sud pour lutter contre le décrochage scolaire. Viennent ensuite les professeurs tuteurs et les conseillers d’orientation pour personnaliser l’apprentissage et réformer l’orientation. Voyons en résumé les principales innovations qui entreront en vigueur à partir de 2023/24.

Carte de professeur également pour les professeurs suppléants

Avec le décret pour sauver les infractions, le bénéfice de la carte d’enseignant est étendu, avec un montant inchangé de 500 euros, également aux enseignants avec un contrat de remplacement annuel sur un poste vacant et disponible (jusqu’au 31 août). L’utilisation de la Charte est étendue à environ 83 000 suppléants par an. Pour assurer l’élargissement de l’audience des utilisateurs, le financement de la Teacher Card est augmenté de 10 millions d’euros.

Projet anti-dispersion dans 150 écoles

Avec l’Agenda Sud, le ministre Giuseppe Valditara déclenche alors un projet pilote anti-dispersion. L’initiative durera deux ans, couvrant les années 2023/2024 et 2024/2025, et sera appliquée dans 150 écoles du Sud identifiées par l’Invalsi, avec l’espoir de l’étendre à beaucoup d’autres. Les établissements concernés sont 50 écoles primaires, 50 collèges et 50 collèges et ont été choisis par l’Invalsi sur la base de données relatives aux taux de décrochage scolaire, taux de décrochage au cours de l’année, absences, faiblesse des acquis scolaires, contexte socio-économique . Avec le Plan, des modèles seront testés et de bonnes pratiques seront créées qui pourront être généralisées dans d’autres régions du sud de l’Italie.

Les tuteurs arrivent

En application du Pnrr, les tuteurs et professeurs d’orientation arriveront en septembre. Sur 2 734 établissements d’enseignement concernés par la réforme qui institue à titre expérimental des professeurs tuteurs et des professeurs d’orientation, chiffres qui accompagneront à partir de septembre les élèves dans la construction de leur parcours dans les filières scolaire et professionnelle, pas moins de 2 728 (soit 99,8 % des au total) ont transmis la demande de participation aux modules de formation : un total de 52 176 tuteurs et 4 252 professeurs d’orientation. Ce résultat permettra d’engager la voie vertueuse de la personnalisation de l’enseignement et de l’orientation, par un accompagnement des élèves et des familles visant à identifier et valoriser les talents de tous les jeunes, à faire des choix éclairés et réfléchis en cohérence avec le potentiel des élèves, visant à obtenir la réduction du décrochage scolaire et de l’échec scolaire. Pour l’introduction de ces chiffres, un prêt de 150 millions d’euros est prévu, destiné à cet effet par l’arrêté ministériel d’avril dernier. D’autres ressources ont déjà été trouvées pour permettre un soutien pédagogique disciplinaire dans les heures périscolaires, allongeant ainsi le temps scolaire.

L’école-travail, plus de protection et d’indemnisation

Le gouvernement Meloni tente également de relancer les filières école-travail. Le ministre Valditara vise à sécuriser au maximum les parcours de compétences transversales et d’orientation (Pcto, l’ancienne alternance). Par exemple, prévoir que les entreprises remplissent une section spécifique du DVR – le document d’évaluation des risques – si elles souhaitent accueillir des étudiants en cours d’emploi. Ceci dans le but de garantir aux jeunes (l’alternance concerne environ 1,4 million d’étudiants) des lieux adaptés et sécurisés pour effectuer les heures prévues de formation pratique (l’alternance est scolaire et l’étudiant n’exerce pas un métier, mais une activité assimilable). L’objectif est également d’identifier un enseignant qui coordonnera la planification du cours, c’est-à-dire qui suivra les étudiants pas à pas pendant les heures « sur le tas ». Un Fonds est également en route pour indemniser les décès dans les filières « au travail ». Le Fonds pour 2023 sera de 10 millions et couvrira les événements survenus depuis le 1er janvier 2018, date à laquelle les règles d’alternance sont entrées en vigueur. D’autre part, deux millions seront alloués au Fonds pour chaque année à partir de 2024. Les étudiants de tous les niveaux, y compris les étudiants privés, y compris ceux engagés dans l’enseignement et la formation professionnels, et les universités seront assurés. L’indemnité aux familles peut être cumulée avec l’allocation unique versée par l’Inail aux assurés (article 85 du décret présidentiel 1124/1965).



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