La présentatrice de ZDF, Dunya Hayali, commente le débat Rammstein
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La modératrice du « heute journal », Dunja Hayali, a participé au débat Rammstein avec un post plus long sur Twitter. Pour ce faire, elle a dressé une sorte de liste de thèses sur l’affaire, qui fait actuellement l’objet d’une intense attention médiatique.
Hayali ne considère pas les allégations contre Till Lindemann et le groupe berlinois selon lesquelles ils auraient mis en place un système « Row Zero » avec des soirées d’après-spectacle, pour lesquelles les jeunes femmes étaient principalement recrutées pour avoir des relations sexuelles avec le chanteur, comme un cas (moral) particulier . Elle a écrit à propos de son message : « … Parce qu’il s’agit de bien plus que « juste » #Rammstein depuis si longtemps. »
La courte liste comprend des déclarations telles que « le sexe c’est du sexe », « la maltraitance c’est de la maltraitance » et « la maltraitance n’est pas du sexe », qui étaient toutes des points de clarification dans le débat moi aussi. Mais le journaliste a également abordé la dynamique compliquée des groupies. Elle l’a donc précisé dans son message : « La naïveté n’est pas une porte ouverte à l’abus » et « Le fandom n’est pas une licence pour la coercition ».
Je ne voulais pas faire de commentaire pendant les courtes vacances, mais je me rends compte que presque toutes les conversations continuent à tourner autour de ça à un moment donné et ça ne me lâche pas d’une manière ou d’une autre. Alors voici mes 5 centimes…
… Parce qu’il s’agit de bien plus que « juste » depuis si longtemps #Rammstein pic.twitter.com/ZZkmh3ZSok
– Dunja Hayali (@dunjahayali) 13 juin 2023
En général, la zone des coulisses n’est pas une « zone de casting pour une prostituée de rue ». Hayali a également repris l’argument souvent avancé selon lequel les femmes provoquent des agressions avec des vêtements sexy ou des flirts très clairs et l’a lié aux abris désormais nécessaires lors des concerts. Fondamentalement, on demande aux gens de changer leur comportement, qui finissent par devenir des victimes potentielles d’une dynamique qui échappe à leur contrôle.
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La modératrice de la ZDF, très active sur Internet, a clôturé sa contribution avec la perspective sceptique qu’« il y a encore beaucoup de problèmes dans notre système (patriarcal) ».