Il y a peu d’espoir pour les prisonniers russes qui rejoignent le groupe Wagner et combattent en Ukraine en échange d’une grâce six mois plus tard. On estime que 90 pour cent ne survivent pas. L’agence de presse Reuters s’est rendue dans certains cimetières où reposaient des mercenaires morts et a découvert qu’il ne s’agissait pas seulement d’assassins.
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