Du congé parental aux primes d’éducation, voici les engagements de la loi famille

Le « Family Act » est devenu loi, avec le oui définitif du Sénat. Le paquet de principes généraux et de mesures atteint l’objectif soutenu par le consensus d’une très grande partie du Parlement. « Ce n’est pas une mesure décisive, mais à partir de là, nous commençons un chemin qui doit nous conduire à construire un système structurel et équilibré qui ne constitue pas seulement une aide au revenu », étaient les mots avec lesquels le ministre de l’égalité des chances et la famille Elena Bonetti a clôturé le processus d’approbation des nouvelles règles. Maintenant, la prochaine étape indiquée est de repenser le système étroitement lié de protection sociale et de travail, affectant surtout des indicateurs tels que le taux de natalité, la pauvreté des enfants, la pauvreté matérielle et éducative, l’emploi des femmes.

L’équilibre travail-vie

Les délégations confiées à l’exécutif par la Ddl incluent la réorganisation et le renforcement des règles visant à soutenir la parentalité et la fonction sociale et éducative des familles et à lutter contre la dénatalité. Des objectifs à aborder également pour l’indépendance et l’autonomie financière des jeunes et la conciliation de la vie familiale avec le travail des deux parents et pour soutenir, en particulier, celui des femmes.

Du congé parental à l’éducation

L’exécutif est alors appelé à revoir la discipline des congés parentaux de paternité et de maternité (avec possibilité de les utiliser jusqu’à l’âge de quatorze ans de l’enfant) et à introduire des déductions fiscales ou des primes directement dépensables destinées à supporter les dépenses liées à l’enseignement universitaire (de l’achat de textes, également au format numérique, aux frais de logement pour les étudiants hors site).

Jeunes couples et autonomie de logement

Des avantages fiscaux sont également prévus pour la location du bien à usage de résidence principale ou pour l’achat d’un premier logement au profit de jeunes couples ou pour la mise en œuvre du droit à la vie indépendante et à l’autonomie de logement des personnes handicapées et sans limites. de l’âge.

Le financement des dépenses

Pour financer les décrets délégués, les ressources proviendront, avant tout, de la modification ou de la suppression d’une série de mesures comme la prime bébé et/ou la prime crèche ou de la réforme plus large du système de déductions fiscales. Les mesures sur l’allocation unique, initialement incluses dans cette disposition, ont été définies dans une disposition ad hoc.



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