La province de Drenthe s’attend à ce qu’une contribution supplémentaire soit nécessaire pour l’OV-Bureau Groningen Drenthe, qui est responsable du transport par bus. Il s’agirait d’un maximum de 3,1 millions d’euros.
En raison de la crise corona et de la guerre en Ukraine, Qbuzz devrait tomber entre 11 et 12,5 millions d’euros cette année. Ces surcoûts sont dus aux prix plus élevés du carburant, à un taux d’absentéisme élevé pour cause de maladie et au fait que l’on a conduit plus de véhicules. Afin de maintenir l’accessibilité de la campagne et de la ville, une décision consciente a été prise de conduire plus qu’il n’y avait de demande. Des bus supplémentaires ont également été déployés lors des travaux sur la Julianaplein à Groningue.
Le taux d’absentéisme élevé est dû au virus corona. Le travail à domicile n’est pas une option pour les chauffeurs de bus. De plus, les chauffeurs abandonnent en raison d’une charge de travail accrue car ils ont pris les quarts de travail de collègues malades.
Du déficit de 11 à 12 millions d’euros, 7 à 9 millions d’euros sont demandés aux provinces de Groningen et Drenthe et à la ville de Groningen. Ces trois autorités forment la gestion quotidienne du Bureau des transports publics. Pour Drenthe, cela s’élève à un maximum de 3,1 millions d’euros.
L’entreprise sera aux prises avec d’importants déficits dans les années à venir, qui s’élèveront à 33 millions d’euros. Pour tenir compte de cela, le nombre de trajets est réduit. Certaines lignes disparaîtront, d’autres circuleront moins souvent.
Mais les tarifs pour les voyageurs n’augmentent pas. La province ne veut pas cela, et le Bureau des transports publics non plus. Cela veut ramener les voyageurs dans le bus après le corona. Et on s’attend à ce que cela ne fonctionne pas avec des billets de bus plus chers.
On s’attend à ce que le nombre de voyageurs avant corona soit à nouveau atteint en 2025. Le gouvernement a un plan pour compenser cela. Mais cet arrangement ne se poursuivra qu’en 2025. Cet arrangement prendra fin après cette année. En conséquence, les transports publics recevront des centaines de millions d’euros de soutien en moins.