Dossierage, Meloni : très sérieux, et la liberté de la presse n’y est pour rien


«Je considère très grave qu’en Italie il y ait des fonctionnaires de l’État qui passent leur temps à violer la loi en effectuant des contrôles sur les citoyens, ordinaires ou autres, à leur convenance et en transmettant ensuite ces informations à la presse, et en particulier à certains membres. de la presse. Utiliser ainsi des bases de données publiques n’a rien à voir avec la liberté de la presse. » Ainsi, la Première ministre Giorgia Meloni, en marge du scrutin électoral à la Confcommercio de Teramo en soutien au président Marco Marsilio.

Effet Sardaigne ? On ne sait toujours pas comment ça s’est terminé

« Effet Sardaigne ? Il faut encore le voir parce qu’ils n’ont pas vu comment ça s’est terminé. Mais je suis très optimiste pour les Abruzzes », déclare Meloni. Lorsqu’ils demandent au Premier ministre de commenter les affirmations du large camp confiant dans la victoire, elle répond : « Contente pour eux. Je n’aime pas parler des autres, pendant la campagne électorale j’aime parler de ce qui a été fait et je pense que le travail de Marsilio au cours de ces cinq années a été bien démontré. C’est une Région qui, dans une période de difficulté, a beaucoup résisté, avec des gens qui ne demandent ni aide ni cadeaux.

Les résultats économiques m’ont donné une plus grande satisfaction

«Les résultats économiques de cette année de gouvernement ont été ceux qui m’ont donné le plus de satisfaction: nous avons montré que certaines choses se déroulent exactement comme nous l’avions dit, si nous avions fonctionné d’une autre manière». Le Plan de Relance et de Résilience est un résultat dont Meloni se dit « fière parce que je me souviens quand on disait que l’argent serait perdu et que si le Pnrr devait être renégocié, nous aurions perdu toutes les ressources ».

Un travail incroyable réalisé avec les fonds de l’UE, en dépensant jusqu’au dernier euro

« Nous avons réalisé un travail long et incroyable sur les fonds de cohésion. » C’est ce qu’a affirmé la Première ministre, Giorgia Meloni, lors de son discours lors d’un scrutin à la Chambre de Commerce de Teramo. «Lorsque nous sommes arrivés au Gouvernement, nous avons découvert que les fonds de cohésion, qui sont par excellence ceux qui servent à lutter contre les disparités entre territoires, sur l’ancienne programmation 2014-2021 de 126 milliards de fonds disponibles avaient été dépensés, si je ne me trompe, 47. Ce n’est pas qu’en Italie nous soyons entourés d’argent, donc peut-être ne pouvons-nous pas nous permettre de ne pas dépenser 70 milliards d’euros qui sont distribués pour lutter contre les disparités entre les territoires. Nous avons donc réorganisé les fonds de cohésion, nous avons établi des accords de cohésion », avec des « priorités partagées par le gouvernement national », en concentrant « les ressources sur ce qui est vraiment le plus important ». Pouvoirs de substitution, accélérations, définancements quand les choses ne vont pas bien : l’argent doit couler jusqu’au dernier euro », a ordonné le Premier ministre.

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Pragmatisme en transition écologique ou système de désertification

«Une série de règles surréalistes, souhaitées avant tout par l’Union européenne, au lieu d’entamer une transition écologique, a entamé une transition idéologique à laquelle je pense qu’il faut prêter attention car les choses doivent être faites avec un minimum de pragmatisme. Nous devons défendre la durabilité environnementale mais nous devons aussi la rendre compatible avec la durabilité économique et sociale, sinon nous désertifierons notre système industriel et nous ne voulons pas désertifier notre système industriel. Ainsi le Premier ministre, Giorgia Meloni, dans un autre passage de son discours à Teramo.



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