Dora Jar sort en ‘Ragdoll’ avec ou sans keta


Dora Jar est une chanteuse de Caroline du Nord qui fait partie des artistes émergents dont on parle le plus au cours des deux dernières années. Une conséquence inévitable de la première partie de certaines des plus grandes superstars du moment, comme Billie Eilish ou The 1975.

Dora Jar est arrivée jusqu’ici grâce à son succulent son rock-pop, un son qui, dans des chansons comme « Scab Song » ou « Comfortably in Pain », mélange guitares et électronique. Dans les extraits de ses débuts, son style est teinté de couleur et de surréalisme.

“No Way to Relax When You Are on Fire”, le premier album de Dora Jarkowski, est mis en vente ce vendredi sous l’égide d’une multinationale. Parmi ses premiers singles, on trouve une chanson au son très Faye Webster, « Puppet », et une autre qui s’est lancée dans la musique électronique, « Behind the Curtain ». Mais le single de Dora Jar pour commencer est « Ragdoll », l’une de ses chansons les plus accessibles et les plus entraînantes. C’est la chanson du jour d’aujourd’hui.

La proposition de ‘Ragdoll’ mélange des guitares acoustiques avec une base programmée d’airs drum’n bass. Surtout, un prisme pop – mais alternatif – prédomine dans cette chanson dans laquelle Dora Jar utilise l’image de la « poupée de chiffon » pour parler de son besoin de libération. « Dans la chanson », explique Dora Jar, « je trouve le pouvoir de me laisser aller ; Si je n’ai pas le contrôle, ce n’est pas grave.

L’inspiration de « Ragdoll » est plus inattendue, puisque la chanson est née après que Dora Jar ait subi une séance de « thérapie à la kétamine » avec sa mère. « Je me sentais comme un ballon de bois et toutes ces contradictions surgissaient ; “Je suis timide mais aussi extraverti, je suis léger mais aussi lourd.”







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