Doit-on adapter sa consommation d’énergie aux conditions climatiques ? C’est le résultat de la déclaration du jour

Une grande majorité de 70 % des participants sont d’accord avec l’affirmation selon laquelle nous devons adapter notre consommation d’énergie aux conditions météorologiques.

La raison de cette déclaration était une déclaration d’Olof van der Gaag de l’Association néerlandaise des énergies renouvelables (NVDE), l’un des initiateurs des prévisions météorologiques énergétiques qui ont été présentées lundi. Van der Gaag a déclaré que les ménages peuvent se déplacer avec la météo. Par exemple, en allumant la machine à laver quand il y a du vent. De cette façon, l’énergie verte est utilisée de manière optimale.

La majorité des participants sont donc d’accord avec l’énoncé. Cependant, beaucoup d’entre eux ont des réserves. « Ce serait bien si ça rapportait aussi quelque chose », dit l’un d’eux. « Pas si. Et je crains que si toutes les machines à laver sont allumées par temps venteux, le réseau électrique sera encore fortement chargé. Que font nos chargeurs de pointe (industrie) ici ? »

« Cette indication est assez claire », dit un autre, « mais ce sont des astuces que nous pouvons trouver nous-mêmes. Donc aussi un gaspillage d’énergie.

Un autre électeur : ,,Mais ce n’est pas assez. L’Horeca devrait abolir le chauffage des terrasses, ne plus acheter d’appareils électroménagers de luxe somptueux (énergivores), interdire les scooters et les vélos électriques.

« La piqûre vient toujours du gaz ou du charbon »

Les prix de l’énergie doivent être adaptés aux conditions météorologiques. Quand il fait froid c’est pas cher, quand il fait chaud c’est cher », dit l’un des participants qui n’est pas d’accord avec l’affirmation.

,,Ça n’arrivera pas. Beaucoup trop difficile », a réagi un autre électeur en désaccord. « De plus, comment savez-vous si l’endroit où l’énergie est générée est favorable ou non. Cela varie par heure. De plus : quel est le pourcentage d’énergie éolienne et solaire ? Selon diverses sources entre 11 et 14. Cela inclut le biogaz et l’incinération des déchets. Conclusion : les énergies éolienne et solaire ne font pas une brèche dans un paquet de beurre pour le moment. Ajuster sa consommation d’énergie aux conditions climatiques est donc une façon ridicule de gagner du temps. L’injection vient toujours du gaz ou du charbon.



ttn-fr-45