Directeur de la Croix-Rouge : « Il ne faut pas oublier les crises prolongées comme la Syrie »

Elle espérait que ça s’était un peu amélioré. Que le quotidien a retrouvé son chemin après tant d’années de guerre, et que les réfugiés qui sont revenus ont pu reprendre leur vie en main. Ce qu’elle a d’abord vu dans la capitale Damas n’était pas bon, mais pas très mauvais non plus. « Au moins, il y a l’électricité », explique Marieke van Schaik, directrice du département néerlandais de la Croix-Rouge. Pas toute la journée, mais quand même. Et vous pouvez marcher en toute sécurité dans la rue. Mais j’ai vite appris que Damas est une bulle, complètement séparée du reste du pays.



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