Deux des mêmes plans de construction à Bussum : l’un obtient un permis, celui de Raoul fait l’objet de discussions depuis un an

Le promoteur Raoul van de Wetering est perplexe quant à la façon dont son plan de construction pour le Bussumse Laarderweg ne peut pas compter sur la coopération de la municipalité, tandis que Gooise Meren a posé le tapis rouge à deux portes pour un plan aussi bon que le même. “Ils s’en tiennent obstinément au refus du permis.”

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L’année dernière, Raoul a acheté le bâtiment à Bussum avec un permis en cours. Il y avait autrefois un magasin de bricolage au rez-de-chaussée. Il y avait déjà des maisons à l’étage. L’année dernière, le promoteur a demandé un permis pour construire trois maisons dans l’ensemble du bâtiment.

Mais la municipalité n’y tient pas trop. Déjà en décembre, la réponse était catégorique : non.

Cela a tout à voir avec les exigences de stationnement fixées par Gooise Meren. Selon la municipalité, il y a un soi-disant double usage. Le promoteur estime que vivre et travailler appartiennent au passé, car il souhaite y construire trois appartements. Pendant la journée, il n’y a plus de visiteurs qui venaient en voiture au Laarderweg.

Le besoin expire

Les règles de la municipalité stipulent clairement que si un bâtiment change la fonction du bâtiment, l’obligation de stationnement deviendra caduque. L’ancienne utilisation du stationnement peut être éliminée par la nouvelle utilisation, selon le promoteur. Avec la politique municipale de stationnement entre les mains, Van de Wetering dit donc qu’il n’a pas besoin de créer des places de stationnement sur sa propre propriété. Il n’y a pas non plus d’espace pour réaliser ces places de stationnement.

“La municipalité a un vrai problème, car cette politique fait qu’on peut faire des logements partout”

développeur de projet raoul van de wetering

“C’est une erreur dans la politique municipale de stationnement. La municipalité a un vrai problème, car cela veut dire qu’on peut faire des habitations partout”, explique Raoul.

Autopartage électrique

Bien que Raoul ne devrait pas construire de parkings, il veut participer. L’idée de louer ou d’acheter des lieux n’a pas trouvé de soutien en mairie. Ensuite, il a été suggéré de garer une voiture électrique partagée devant la porte. Cette voiture est destinée aux habitants de l’immeuble, mais cette proposition a également été rejetée par la municipalité.

Le permis a été refusé il y a près d’un an et depuis, Raoul et la municipalité sont en conclave. Raoul a contacté la commission des objections, qui a discuté de la question plus tôt cette année et a émis un avis au conseil d’administration en juin.

Silence radio total

Depuis, c’est le silence radio total de la mairie. Le promoteur attend toujours une décision. Il est sur ses pattes depuis cinq mois. Les suggestions d’engager une discussion avec l’échevin sont invariablement rejetées.

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Entre-temps, il a découvert qu’un plan presque identique pour le Laarderweg pouvait compter sur le soutien de la municipalité.

Selon Van de Wetering, le permis doit avoir été demandé à peu près à la même période que le sien. De plus, cela concerne également un immeuble où se trouvait un magasin au rez-de-chaussée et des maisons se trouvaient déjà au-dessus.

“La municipalité ne cherche aucunement une solution”

encore raoul de la loi

Trouvez les dix différences

Le bâtiment a depuis été réaménagé. Gooise Meren est huit appartements plus riches. Raoul estime qu’aucune place de parking n’a été créée sur son terrain. S’il met son plan et celui du « voisin » côte à côte et joue à Trouver les dix différences, il n’en trouve pas. Sauf que plus de maisons ont été construites ici, ce qui devrait en fait signifier plus d’espace de stationnement.

poignant

Comme mentionné, il n’obtient pas de réponses de la municipalité. “Il n’y a aucune solution à chercher. C’est vraiment la chose la plus affligeante”, s’agace le développeur. “Je ne comprends absolument pas pourquoi nous devons attendre si longtemps. Nous sommes maintenant presque un an plus loin et même pas un millimètre plus loin.”

NH Nieuws a demandé à plusieurs reprises une réponse à la municipalité de Gooise Meren, malheureusement aucune réponse n’a été reçue.



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