Des enfants écrivent des cartes accrocheuses pour les employés d’ONG emprisonnés


Des enfants écrivent des cartes accrocheuses pour les employés d’ONG emprisonnés

Ils ont écrit et signé 450 cartes pour soutenir la famille d’Olivier et offrir un peu de réconfort en cette saison de Noël.

« Beau geste »

Même dans les classes primaires on parle d’Olivier Vandecasteele. Les enfants des Negensprong à Koekelare et des Tweesprong à Edewalle pensaient qu’ils devaient faire quelque chose.

Joyce David de De Negsprong : « L’histoire d’Olivier nous a beaucoup plu, et elle nous a aussi touchés. C’est pourquoi ils en ont parlé en classe. Nous avons pensé que c’était un très beau geste d’écrire les cartes pour soutenir la famille. »

Ce matin, les enfants peuvent remettre les cartes à la mère d’Olivier Vandecasteele.

« Je pense que c’est très triste », déclare Kate Sys. « J’ai écrit sur cette carte : Bonne chance et espoir. N’abandonnez pas. Bientôt ce sera Noël. Oui, je pense que c’est vraiment dommage. Nous essayons de le réconforter un peu avec ça. »

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« Il faut continuer à espérer »

Olivier Vandecasteele purge une peine de 28 ans de prison en Iran. On ne sait toujours pas pourquoi.

Michèle Lievens, amie d’Olivier : « Les enfants ont eu le temps de réfléchir à ce qui se passe. On leur a donné pour consigne d’encourager les parents et d’écrire leurs souhaits. Sur de nombreuses cartes voir Vous savez qu’ils ne souhaitent que la paix, et pour Olivier à libérer le plus tôt possible. »

Ce sera le premier Noël de la famille sans Olivier. Les cartes accrocheuses des enfants sont un réconfort en ces jours difficiles.

Annie Santy, maman d’Olivier : « Cela nous fait très chaud au cœur. Je suis très reconnaissante pour tout, et pour tous ceux qui s’engagent. Avez-vous encore de l’espoir ? Il faut garder espoir. Osez demander à tout le monde de nous aider, et continue d’espérer. »



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