Des casiers partagés pillés à Velsen-Noord : comment une personne peut tout gâcher pour le reste

Armoire complètement vide

L’idée n’est pas que quelqu’un prenne les quinze ou vingt produits dans les rayons, les mette dans un sac et reparte rapidement. Mais cela s’est produit souvent au cours des deux derniers mois. Les coupables semblent avoir été repérés la semaine dernière. Il s’agirait d’une ou deux femmes, toujours dans la même voiture grise.

Jeannette : « Ils ont certainement visité deux de nos placards. Et peut-être le mien aussi, assez souvent mon placard est vide une heure après avoir été réapprovisionné. Mais je ne les ai pas vu moi-même. »

D’autres ont vu les femmes et leur ont parlé en vain. Une photo rapidement prise de la voiture a été partagée sur Facebook cette semaine. Cela suscite beaucoup de réactions indignées sur la page.

Petit problème aux répercussions majeures

Cela peut sembler un petit problème, les actions d’une ou deux femmes. Mais ce qui est fâcheux, c’est que maintenant qu’ils font occasionnellement leur tournée des hamsters, il semble qu’il suffit d’une ou deux personnes pour mettre la pression sur la bonne ambiance autour d’une initiative aussi sympathique.

Jeannette : « Certains disent désormais par exemple : je ne mets plus rien dans la boîte du donnant-donnant, car cela finit entre de mauvaises mains. Ce serait dommage si plus de gens pensaient ainsi. » Ou, si cela arrive si souvent, que ses « collègues » retirent bientôt leur casier du jardin.

Cela s’est déjà produit l’année dernière. Puis un sixième propriétaire d’armoire à parts Velsen-Nordic a démissionné. « Il devait constamment faire face au vandalisme », explique Jeannette. « Heureusement, les autres n’en ont pas. Mais depuis cette semaine, nous avons pris des mesures supplémentaires. S’il reste encore des choses dans le placard à la fin de la journée, nous les sortons. Nous les remettons le lendemain. jour. « 

Entrer dans une conversation

De plus, Jeannette ne peut et ne veut pas prendre de mesures plus importantes. Jeannette : « Les gens disaient : installez une caméra. Mais après, en regardant tout en arrière, je n’ai pas du tout envie de faire ça. Il faut que ça reste amusant à faire. Et heureusement ça l’est toujours, pour moi les réactions positives ont le dessus main. »

Elle poursuit : « De plus, les placards ne doivent pas être surveillés en permanence, les gens doivent pouvoir récupérer leurs affaires sans être vus et en toute sécurité. Il y a parfois un peu de honte quand on a besoin de quelque chose de quelqu’un d’autre. C’est pourquoi My locker n’est pas non plus à l’avant, mais sur le côté de ma maison. »

La seule autre chose que Jeannette encouragerait est d’entamer une conversation avec des gens qui abusent des boîtes de concessions mutuelles. « Peut-être qu’une personne parle une langue différente et qu’elle ne comprend pas que ce qu’elle fait n’est pas approprié. » En attendant, une médiation de quartier et une conversation avec le policier local seraient également envisagées.



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