Des abris d’urgence de crise sont également nécessaires après le 1er avril

Le refuge d’urgence pour demandeurs d’asile doit rester ouvert plus longtemps que le 1er avril. C’est ce que le secrétaire d’État Eric van der Burg (Affaires d’asile) a demandé aux maires du Conseil de sécurité. De nombreux maires ont accepté, a-t-il dit.

Ces derniers mois, plusieurs centres d’accueil d’urgence de crise ont été ouverts dans la Drenthe. À Diever, Coevorden et Gieten, entre autres, un logement de groupe, un bâtiment bancaire et un centre de soins ont été aménagés en tant que logement temporaire.

Van der Burg dit qu’il ne peut pas encore manquer le refuge d’urgence. Un certain nombre de régions ont indiqué qu’elles ne peuvent pas continuer cet accueil sous sa forme actuelle, mais aimeraient voir ce qu’elles peuvent faire d’autre. « Et certains ont dit très clairement et clairement : nous n’allons pas faire ça », a déclaré le secrétaire d’Etat.

Tous les maires ont indiqué qu’ils ne parvenaient plus à aménager les installations nécessaires pour tous les demandeurs d’asile. Cela concerne des questions telles que l’éducation, les garderies et les soins.

Selon le président du Conseil de sécurité Hubert Bruls, les règles doivent être assouplies pour réglementer les installations. « Sinon, il va complètement planter. » Les ministres de l’Education et de la Santé devraient « ajouter de l’eau au vin », dit Bruls. Mettez les enseignants à la retraite devant la classe, a-t-il dit.

Les ressortissants dits de pays tiers ont également été abordés lors de la consultation supplémentaire. Ce sont des réfugiés d’Ukraine qui ne sont pas originaires de cette région. Elle concerne environ 4 700 personnes. Le régime dont ils relèvent expire début mars et les maires ont demandé sa prolongation pour empêcher les gens de descendre dans la rue.

Van der Burg est positif à ce sujet. « Une proposition assez sensée », a-t-il dit. Il étudiera les effets d’une extension.

Il y a une grave pénurie de refuges. Les centres d’asile sont surpeuplés et il n’y a pas de maison disponible pour les personnes autorisées à rester. Davantage de demandeurs d’asile devraient arriver aux Pays-Bas dans les mois à venir, tandis que le nombre de places d’accueil diminue. C’est pourquoi Van der Burg cherche assidûment plus d’abris.

Van der Burg a récemment annoncé qu’il avait encore besoin de 19 000 places d’accueil avant le 1er juillet. Garder l’abri d’urgence ouvert n’est pas la fin de l’affaire, a-t-il admis. « Mais ça va aider. » Il n’a pas indiqué de date à laquelle le refuge d’urgence pourrait fermer.



ttn-fr-41