La Coupe du monde de fléchettes bat son plein à l’Alexandra Palace de Londres. Quatre Néerlandais sont toujours en compétition pour des prix dans un sport qui est presque synonyme de boire un verre.
Cependant, l’association allemande de fléchettes a appelé les gens à rester sobres sur scène. L’association de nos voisins de l’Est ne veut plus de participants ivres. “Sans alcool, je n’aurais probablement rien gagné”, a déclaré plus tôt, sobre, le double champion du monde Dennis Priestley (73 ans) à la NOS.
D’autres joueurs de fléchettes constatent également qu’ils contrôlent mieux leurs nerfs lorsqu’ils ont bu un verre. Certains participants y voient du dopage. L’époque où les professionnels étaient impuissants sur scène est révolue. Pour la plupart des participants, les fléchettes constituent désormais un travail à temps plein, pour lequel ils s’entraînent constamment.
Mais pouvez-vous séparer l’alcool d’un match qui a commencé dans un pub et que des milliers de fans regardent avec une bière à la main ?