Qui dit « Nouvel An », dit « bonnes intentions ». En 2024, nous boirons vraiment moins, arrêterons de fumer et ferons plus d’exercice.
Du moins, c’est ce qu’on se dit. Mais ces bonnes intentions sont-elles vraiment utiles ou sont-elles totalement inutiles ? Le professeur de neuropsychologie Erik Scherder ne tourne pas autour du pot. « Le risque est que les bonnes intentions conduisent principalement à la déception. »
Néanmoins, de bonnes intentions peuvent se révéler bénéfiques, estime Scherder. Selon lui, il y a trois conditions à remplir pour réussir. A commencer par la prise de conscience. De plus, la bonne intention doit devenir la priorité numéro un. « Il ne devrait rien y avoir de plus important dans un avenir proche. »
De plus, vous devez disposer d’un environnement qui vous soutient. « Si le reste de votre famille continue à boire de l’alcool ou à manger régulièrement des frites alors que vous souhaitez arrêter, vous n’y arriverez pas. »
Comment êtes-vous « dans le jeu » ? Avez-vous de bonnes intentions ? Ou pensez-vous qu’il est totalement inutile d’avoir de bonnes intentions ? Faites-le-nous savoir et participez à la déclaration du jour.