Déclaration du jour | A juste titre pour que le gaz hilarant figure sur la liste des substances interdites

La possession et la vente de protoxyde d’azote seront restreintes à partir du 1er janvier, a annoncé lundi le ministère de la Santé, du Bien-être et des Sports.

Depuis cette date, le gaz hilarant figure sur la liste II de la loi sur l’opium (drogues douces) et tombe alors dans la même catégorie que, par exemple, l’herbe, les champignons et les somnifères. Le commerce, la production et la possession de protoxyde d’azote sont alors interdits.

L’utilisation professionnelle du gaz hilarant à des fins médicales et techniques reste autorisée, de même que l’utilisation du gaz hilarant comme additif alimentaire.

L’interdiction du protoxyde d’azote est-elle une bonne mesure du cabinet ? Une telle interdiction entraînera-t-elle moins d’accidents de la circulation et de perturbations dans le circuit de divertissement ?

Et la police doit-elle contrôler plus strictement la possession de protoxyde d’azote à partir du 1er janvier ?

Répondez à la déclaration du jour.



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