Débuts amers pour Alcaraz de n.1 : ko avec Auger-Aliassime. Et l’Espagne perd

La première place des Ibères dans le groupe B n’est plus acquise. Dans le groupe D, les Pays-Bas et les États-Unis sont déjà qualifiés, et l’un des deux sera l’adversaire de l’Italie

Dans les autres matches de la quatrième journée de la finale de la Coupe Davis, les premiers verdicts finaux arrivent, avec quatre équipes (plus l’Italie) déjà sûres de la qualification, mais la nouvelle du jour est que Carlos Alcaraz a perdu un match. Et il l’a perdu trop lys et risque de peser lourd dans le sort du groupe B. Le numéro un mondial, fraîchement sorti du triomphe de New York et sans doute encore un peu “confus” par tout cela, a été battu par (ressuscité) Félix Auger-Aliassime en trois sets, et maintenant pour l’Espagne la première place du groupe n’est plus si évidente. En effet, étant donné qu’au final la victoire est revenue 2-1 au Canada. Le succès de Bautista Agut sur Pospisil n’a pas suffi, étant donné que les Nord-Américains ont également remporté le doublé. Donc, tout est reporté. Le Canada vers la qualification mais pas encore sûr, les Ibères devront encore transpirer.

Dans le groupe B, en revanche, tout reste à jouer et rien n’est décidé. Si la Serbie devait battre le Canada, elle pourrait encore être dans le match même pour la première place, tandis que l’Espagne (devrait) avoir la vie facile contre la Corée du Sud, qui se vend cher. Dans le groupe C, à Hambourg, l’Allemagne a bien fait, qui a battu la Belgique 2-1 (déjà éliminée, en même temps que la France), grâce aux succès de Struff et au doublé Kevin Krawietz/Tim Puetz : les Allemands, qualifiés, joueront, les première place avec l’Australie, dans une sorte de confrontation directe lors de la dernière journée. Dans le groupe D, on connaît les qualifiés, les Pays-Bas et les USA, et l’un des deux sera l’adversaire de l’Italie en novembre à Malaga. Les tulipes ont pris la passe à domicile en battant la Grande-Bretagne 2-1, grâce aux succès de Botic van de Zandschulp et du doublé Wesley Koolhof/Matwe Middelkoop. La Grande-Bretagne a vraiment déçu, non seulement parce qu’elle jouait « à domicile » (à Glasgow), mais aussi parce qu’elle jouait pratiquement dans une formation typique, avec deux excellentes singularités (Norrie et Evans) et un doublé avec Andy Murray.



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