De ‘Roncola’ d’ankli à ‘Coca-Cola et rhum’ de Slow, Aren y cía.


Il y a quelques mois, nous avons été accrochés par une chanson funky appelée ‘Roncola’, dont nous avons parlé avec son auteur, ankli. Curieusement, une autre chanson appelée le même a maintenant été publiée, mais à l’envers, qui sert aussi de revers de la médaille, car elle n’a presque rien à voir avec elle.

‘Coca-Cola y ron’ est la dernière collaboration entre un jeune de Tolède appelé Slow et un artiste et producteur barcelonais appelé Aren (dans l’image, avec un poulet), attiré à la fois par la pop urbaine et indie. Les auditeurs de quelques-unes de ses chansons se comptent déjà par centaines de milliers, à souligner ‘Nuestras polaroids’, une chanson punk qui rime avec Bizarrap et Selectividad et ‘Distanciaos’, une chanson basée sur le dancehall avec une pincée d’instrumentation organique, comme ça piano triste. comme il le révèle Acqustic, communauté à laquelle il appartientAren n’est même pas dégoûté par l’hyperpop, une petite influence sur un autre single qu’il a sorti cet été, ‘city without law’.

‘Coca Cola y Ron’, qui comprend également des longs métrages du Madrilène J Holland et de Manu Cort, né à Santander mais élevé à Rome, est une déclaration d’amour insouciante et amusante, au sein d’un couple dans lequel il « met Sticky » MA et elle «à Vetusta». Un affrontement très reflété dans une musique qui alterne la pop punk de Pignoise avec l’Autotune déjà incontournable pour la génération de Cupidon, Bad Gyal ou Luna Ki.

Bien que la meilleure chose ici est la vitesse d’un texte plein de blagues, qui culmine avec le refrain « toi et moi avons frappé comme Coca-Cola et le rhum, mon amour / J’ai un visage de bâtard, désolé » ou « les étincelles volent dans la chambre / Je vais tatouer ton adresse. Une de ces chansons au son actuel qui serait un macro hit avec un featuring d’Aitana.



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