L’attaquant espagnol qui a longtemps été un protagoniste de la Serie A a annoncé sa retraite à l’âge de 38 ans : choix, style et avenir, c’est pourquoi il a laissé sa marque
S’il avait été un ancien poète, Fernando Llorente aurait pu écrire des vers comme ceux d’Horace. « Je déteste le luxe persan et les couronnes tressées en tilleul ». Un éloge de la simplicité, de la vie posée, que l’Espagnol a toujours menée malgré la richesse d’un sportif professionnel.