De l’éolien offshore flottant aux énergies renouvelables détaxées, toute l’actualité du décret énergie


L’amendement des rapporteurs a finalement été adopté avec une reformulation qui attribue le rôle de commissaire extraordinaire à la gestion des déchets au président de la Région sicilienne, avec la possibilité d’autoriser également de nouvelles installations de valorisation énergétique des déchets. C’est l’une des principales innovations approuvées lors du vote final du décret législatif sur l’énergie des commissions de l’environnement et des activités productives de la Chambre, avant d’arriver à la Chambre attendue aujourd’hui pour le vote de confiance.

Des enchères pour encourager les énergies renouvelables

Oui à la stipulation de contrats pluriannuels bilatéraux par différence entre le GSE et les opérateurs sélectionnés avec des enchères pour encourager les énergies renouvelables combinées avec la possibilité de participer à des enchères pour des incitations également pour tous les systèmes photovoltaïques dans les zones agricoles. Le délai d’application du mécanisme transitoire des prix minimaux garantis aux usines durables de bioliquides a également été prolongé (avec la possible augmentation de 300 millions sur la facture).

Plateformes flottantes pour l’énergie éolienne

Extension à l’ensemble du territoire national, y compris les zones adjacentes à celles en « sortie » du charbon (lire Civitavecchia), de la possibilité d’identifier des ports dans lesquels construire des plates-formes flottantes pour le développement de l’énergie éolienne par rapport aux deux déjà identifiés par le décret dans le sud de l’Italie. Les pouvoirs du commissaire unique aux eaux urbaines résiduaires seront également renforcés : il pourra agir en dérogation à toute loi autre que le droit pénal.

Travailleurs des centres d’appels

Il y a alors une marge pour la stabilisation des travailleurs des centres d’appels impliqués dans la gestion des activités de plus grande protection de l’électricité – qui risquaient de rester chez eux avec le passage progressif d’abord au service de protection graduelle puis au marché libre -, garantie par la couverture des « coûts directement imputables au service et non récupérables », une protection accrue a été demandée et obtenue par les opérateurs et qui pourrait à terme être répercutée sur les redevances payées par tous les utilisateurs. Il appartiendra ensuite à Sogesid, société interne du ministère de l’Environnement, de s’occuper des plans de transition verte de toutes les administrations centrales.

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Frais engagés et non récupérables

Quant à la fin de la protection renforcée, dans les trois mois suivant le transfert des points de livraison des clients finaux vers le service de protection progressive, les opérateurs de protection renforcée présenteront à l’Arera le rapport indiquant les coûts engagés et non récupérables à partir du 1er avril 2023 : l’Autorité devra fixer, dans les 90 jours de la loi de conversion, les modalités et modalités d’envoi du rapport. Et ces coûts incluent également ceux liés aux travailleurs des centres d’appels. Parmi les mesures correctives approuvées hier, figure également la possibilité de retrait, sans pénalités, pour les titulaires de contrats de différence stipulés avec le GSE, qui n’impliquent pas d’échange physique d’électricité, en application du décret Mase du 16 septembre 2022 qui a réglementé les modalités de vente d’électricité issue de sources renouvelables dont dispose l’opérateur.



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