L’ego du président se heurte à la susceptibilité de l’entraîneur: ainsi Naples gâche le plaisir du Scudetto historique
mtandis que les Napolitains vivent une phase de dieux mondains passant d’une fête à l’autre, dans une atmosphère d’addiction musicale entre buts et tonneaux, trompettes et tambours, visages et façades peints en bleu et défaites et victoires qui ont le même visage, Aurelio De Laurentiis et Luciano Spalletti, entre silence et givre, joueront au ping-pong avec Naples la saison prochaine.