De jeunes agriculteurs mettent leur entreprise « en vente » pour protester contre la politique sur l’azote

Ten Kate est honnête quand son “changement de carrière” est mentionné. “Non, en fait le courtage n’est pas pour moi”, rigole-t-il. En même temps, la déception se lit dans son sourire. Déception face à la réglementation sur l’azote que lui et de nombreux autres agriculteurs doivent respecter. “Et avec ces commissions de courtage, nous essayons d’indiquer de manière ludique ce que nous pensons de la lettre d’azote qui a été lancée la semaine dernière. Nous essayons de trouver quelque chose avec un clin d’œil sérieux.”

Et avec une maison de courtage vient un conseil d’administration. Si cela ne tient qu’à Ten Kate, il les verra bientôt partout dans la Drenthe dans les fermes. “Nous en avons actuellement cinquante et nous leur donnerons au moins un bel endroit visible. Pensez le long des autoroutes très fréquentées ou dans les centres de villages.”

La femme d’un agriculteur de DAJK explique l’action de courtage

Pour sauvegarder l’avenir de son entreprise, Ten Kate fait également partie des personnes présentes à Rogat mercredi matin, avant de se rendre à Stroe avec des dizaines d’autres conducteurs de tracteurs et de voitures pour protester contre la politique de l’azote. “Il y aura différents orateurs de différents partis. Et puis nous verrons ce que la journée nous réserve”, pense-t-il. “Aurez-vous de nouveau des nouvelles de nous ? J’en suis sûr”, conclut Ten Kate.



ttn-fr-41