Dans divers endroits en Iran, des écolières ont de nouveau été hospitalisées avec des symptômes d’empoisonnement samedi. C’est la deuxième fois en une semaine qu’il y a eu des rapports du pays faisant état de filles scolarisées tombant soudainement malades.
Certains des cas de maladie qui ont été révélés il y a une semaine remontaient à il y a trois mois. Surtout dans la ville sainte de Qom, les écolières tombaient régulièrement malades. Il y a 700 cas au total.
Les messages de samedi proviennent de cinq provinces iraniennes. Les filles souffrent de maux de tête, de problèmes respiratoires et de vertiges. Leur état est dit stable. Auparavant, toutes les filles avaient survécu aux empoisonnements présumés.
Plus tôt, le vice-ministre de la Santé a déclaré qu’il s’agissait probablement d’une action de groupes qui veulent mettre fin à l’éducation des filles dans ce pays strictement islamique. Plusieurs filles ont signalé une odeur étrange avant de tomber malades, suggérant qu’elles ont été exposées à un gaz toxique.
Le président iranien Ebrahim Raisi a déclaré qu’il s’agissait “d’une action hostile visant à instiller la peur et le désespoir parmi la population”.