Le premier champion mondial a ouvert la voie : à Paris, de la natation au volley-ball assis, de nouveaux noms se sont fait connaître

C’était en 2012. Nous nous dirigions vers Londres. Le Comité international paralympique a demandé d’indiquer d’éventuels relayeurs, qui seraient les cinq derniers à porter le flambeau dans les rues de Londres en direction du stade olympique. La Gazzetta elle-même, avec le Corriere della Sera, a lancé une campagne pour obtenir des informations sur elle. Les bureaux de l’IPC à Bonn ont été inondés de courriels. Bebe Vio Grandis (elle souhaite également que l’on utilise le nom de sa mère) est partie de Piccadilly Square sur ses prothèses pour représenter les « Futurs Paralympiens ». Une grande intuition. Parce que c’est exactement comme ça que ça s’est passé.



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