tuun récit féminin inédit, pour retracer les histoires de six femmes calabraises qui, au XXe siècle, ont marqué de manière indélébile l’histoire civile, politique et intellectuelle de leur région et de l’Italie.
Femmes de Calabre: à partir de ce soir sur Rai Storia
Histoires de des femmes exemplaires, aventureuses et héroïques, souvent méconnus du grand public, unis par un signe fort de modernité. Des histoires qu’il est juste de connaître et qui seront racontées en six épisodes par six actrices italiennes dans le docu-série Femmes de Calabre à partir de ce soir (mardi 21 juin) sur Rai Storia.
Six histoires indélébiles pour inspirer les nouvelles générations
De la journaliste et féministe Adèle Cambria à la première femme maire d’Italie Caterina Tufarelli Palumbo. De la paysanne victime de la lutte au grand domaine Giuditta Levatola première femme calabraise à entrer au Parlement Jole Giugni Lattari. De l’autre, la maire italienne Rita Pisano qui a pris ses fonctions en 1966 en tant que journaliste et écrivain Clélia Romano Pellicano.
De Tea Falco à Rocìo Muñoz Morales, qui raconte la Femmes de Calabre
Six femmes très différentes, têtu, débrouillard, courageuxdont les histoires sont symbole et inspiration pour les nouvelles générations. Ce sont des femmes qui ils se sont battus pour améliorer les conditions de leur terre. Qui se sont implantés dans des domaines presque totalement masculins à l’époque, et qui ont atteint, s’émanciper des dogmes en vigueurl’autodétermination de sa position sociale.
Eleonora Giovanardi (raconte Adele Cambria), Rocio Muñoz Morales (Rita Pisano)Camille Tagliaferri (Guditta Levato)Margareth Made (Jole Giugni Lattari), Thé Falco (Caterina Tufarelli Palumbo) et Marianna Fontana (Clelia Romano Pellicano) sont les actrices appelées à agir comme un leitmotiv dans l’histoire de ces six excellences féminines calabraises.
Témoignages d’époque et images d’archives
Le premier à être raconté ce soir par Eleonora Giovanardi sera la journaliste et écrivain Adele Cambria (Reggio Calabria, 1931 – Rome, 2015), figure centrale de l’époque italienne d’avant et d’après 1968, ainsi que partisane du mouvement féministe depuis ses débuts.
Réalisé parMario Vitale il se développe sur le fond du front de mer de Scilla et celui de Reggio Calabria et, à travers des films originaux de l’époque, retrace la vie de ce grand intellectuel calabrais.
Mais des images, des images d’archives et des entretiens avec des témoins du monde de la culture, de la politique et de la société civile, ils sont utilisés pour toutes les histoires. Parmi ceux-ci se distinguent le président de la Fondation Nilde Iottil’adjoint et athlète paralympique Giusy Versacel’historienne du féminisme Fiorenza Taricone, mais les noms sont de nombreux.
Découvrir les lieux où les « Femmes de Calabre » ont combattu
En toile de fond de l’histoire, les lieux de la Calabre dans lequel les six protagonistes ont vécu, pour revenir également sur un parcours plein de rencontres avec des membres de la famille, des amis, des concitoyens, qui ont apporté leur précieuse contribution à reconstruire sa vie, ses combats, ses difficultés et ses succès.
En passant de la mer de Scilla et Reggio Calabria au parc archéologique de Capo Colonna près de Crotone, jusqu’à Gioiosa Jonica à Locride, la série documentaire représente également un voyage physique et symbolique dans le patrimoine naturel, culturel, urbain et historique du territoire calabrais.
La série documentaire est une coproduction de Calabria Film Commission et Aneleen collaboration avec Rai Cultura, produit par Gloria Giorgianni avec Emma Di Loreto, d’après une idée de production de Giovanni Minoli.
iO Donna © REPRODUCTION RÉSERVÉE