Critique : Wanda :: NEVER END


Un coup du sort a arraché le groupe de rock viennois à sa jeunesse apparemment interminable. Mais la nouvelle réflexion leur convient bien.

Les histoires folles de « Luzia » ont été racontées, les fantasmes d’inceste de « Bologne » ont été rêvés et les baisers ont été généreusement distribués aux bébés. Sur le nouvel album ENDE NIE, l’exubérance typique de Wanda laisse place à la réflexion et à un sentiment de calme, du moins au niveau des chansons. Enfin, il est important d’aborder la mort du claviériste Christian Hummer et du père de Marco Wanda.

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Pour la première fois, les pièces n’ont pas été créées sur des cordes de guitare, mais sur des touches noires et blanches. Cela leur donne une touche années 80 – le motif déterminant de l’immense ballade « Nobody else’s » rappelle même « It’s My Life » de Talk Talk, le solo commence comme la mélodie en couplet de « Forever Young » d’Alphaville ; « Elle n’est pas vraiment intéressée par toi » nous rappelle la mise à jour de « I Can’t Stand The Rain » de Tina Turner.

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Et pourtant, les Viennois restent fidèles à leur essence vitale : « Fuck YouTube », qui n’est probablement empêché de sortir en single que par son titre controversé, a une fois de plus l’un de ceux qui montent en flèche (le plus rapidement et le plus facilement possible). ) des refrains comme celui de Marco Malgré tous les signes d’usure attendus, Wanda réussit toujours sans effort après six albums en dix ans. Après cet album nous sommes secoués, mais surtout touchés.

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