Critique : The Last Dinner Party :: « Prélude à l’extase »


Avant même la sortie de leur deuxième single, The Last Dinner Party est devenu un sujet politique pop sur Internet : ce groupe apparemment indépendant a en réalité un label majeur et un management puissant derrière lui ! Grande indignation ! Bien sûr : les Londoniens profitent lorsque l’argent est dépensé en leur nom – c’est là le point important. Mais une major pourrait vraiment soutenir une musique pire que ce glam rock gothique atmosphérique, qui apparaît tantôt comme groovy, ludique et avec un travail de guitare fantastique (« Nothing Matters »), tantôt comme un stomper au piano (« Sinner »), parfois comme une pop des années 60. (« The Feminine Urge ») – et même comme chanson folklorique albanaise (« Gjuha »).

Dans l’ensemble, « Prelude To Ecstasy » est un début passionnant

Il ne fait aucun doute que ce groupe a du caractère. La production du vétéran britannique James Ford est peut-être un peu plus douce qu’elle ne devrait l’être – plus de saleté n’aurait pas nui à l’atmosphère sinistre. Il y a des décisions qui ne fonctionnent pas vraiment ; certains changements dynamiques semblent essayer d’être bizarres. Dans l’ensemble, « Prelude To Ecstasy » est un début passionnant.

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