Critique : The Gaslight Anthem :: LIVRES D’HISTOIRE


Les rockers indépendants du cœur du pays autour de Brian Fallon font de leur retour une priorité absolue.

C’est le couronnement du récit des garçons du New Jersey de Gaslight Anthem que ce soit Bruce Springsteen qui ait encouragé le chanteur et guitariste rythmique Brian Fallon à réunir le groupe pour un sixième album après une pause (en studio) de neuf ans. Et non sans lui exiger un duo sous la forme de la chanson titre. Bien que le dialogue du patron « History Books » puisse être musicalement inférieur à son élan de solidarité historique, l’album qui l’accompagne dans son ensemble est plus proche des actes brillants antérieurs.

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Le décalage horaire était définitivement bon pour le groupe (ainsi que pour les auditeurs). Si « Positive Charge », un morceau sur la découverte de soi renouvelée et affirmée de Fallon, atteint (presque) la classe de l’album déterminant de sa carrière de 2008, THE ’59 SOUND, en plus de nuances sensibles, parfois presque Mumford-esques, il se laisse même parfois déchirer : par exemple sur cet impétueux « Little Fires », dans lequel Stefan Babcock du groupe canadien PUP chante également, et qui dans le couplet rappelle la véhémence vocale des explosions punk de Pearl Jam – y compris un garage solo de guitariste.

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Ou lorsque le riff basique d’ouverture de « I Live In The Room Above » rappelle les gestes grunge des premiers Stone Temple Pilots. Le Gaslight Anthem parvient toujours à s’approprier toutes les variations tonales et à y répondre avec leur sensibilité mélodique caractéristique, qui culmine finalement dans la légèreté folk de « A Lifetime Of Preludes ». Content de te revoir.

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