Critique : The Doors :: CAPITALISM BLUES BAND


La machine à buzz résonne autour de Kraut et Madchester.

En 2005, Maurice Sumen exigeait : « Viens avec moi, viens avec moi, déshabille-toi. » 18 ans plus tard, il se réchauffe près du feu dans le sud-ouest de Berlin : « Tout a explosé », telle est la devise de « Grunewald ». Is Burning ». Chanson sur le feu de forêt qui fait probablement encore rage dans certaines anciennes casernes de police ces jours-ci, personne ne le sait avec certitude.

Les portes sont le poney multi-tricks de la scène musicale allemande, une machine en rotation constante qui laisse rouler des morceaux d’agitp(r)op dans la vie quotidienne sur un tapis roulant depuis la gauche. La résignation (« Party Game » fait un joli clin d’œil à Happy Mondays) rencontre des réverbérations Kraut décélérées : « Dans le salon de mon grand-père » sonne comme si quelqu’un avait versé un sac de farine sur le groupe.

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« Lost In Invest » voyage vers le Dub, rapporte « Alte Sorte » sur Block Rockin’ Beats du cœur de Retromania. A la fin de l’album se trouve une « petite maison » entre champs, ruisseaux et prairies. « Comme une photo encadrée », disent-ils. Mais si ce record est un cycle, vient ensuite quelqu’un avec des allumettes.

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