Critique : Scrooge :: NOIR


Darkwave Scrooge chante des morales sur la beauté et la mort.

Scrooge était en Afrique, un chasseur, voyageant dans un monde sans temps. Maintenant Scrooge est arrivé. Son sixième album s’intitule BLACK, et non, ce n’est pas une exagération. Dans ces chants les fleurs n’aident plus, les aventures se taisent et les corbeaux prennent le relais. « Rabensinfonie » est aussi la pièce qui donne un point d’ancrage à SCHWARZ. Scrooge aime l’indulgence, aime le geste. Et lorsque le chanteur suisse berlinois chante la mort, thème déterminant de cet album, avec beaucoup de pose dans la voix, il se peut qu’il y ait beaucoup de mise en scène. Death en revue, Dagobert en animateur.

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Cependant, la « Raven Symphony » dégage une froideur qui réduit toute idée de spectacle à l’absurdité : la guitare suggère le malheur, un orgue d’église joue comme dans l’épisode de trois ??? de « Ghost Castle », la batterie donne le ton. danse macabre, darkwave Scrooge conseille d’écouter très attentivement les corbeaux et de les regarder avant que la chanson ne se termine par un chœur de mort, timbales et trompettes. La chanson titre est l’une des nombreuses chansons que Dagobert a conçues comme un dialogue. Entre lui et une personne ? Ou sa vie ? Ce qui ressort : c’est la beauté qui lui coupe d’abord le souffle, puis sa volonté et enfin sa force. Pour continuer l’écoute : PAS DE BEAUTÉ (SANS DANGER) des NOUVEAUX BÂTIMENTS d’EinOLLESSE.



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