Critique : Rufus Wainwright :: FOLKOCRACY


Chants folkloriques avec invités pour une soirée contemplative.

Rufus Wainwright aura 50 ans à la mi-juillet, et il a déjà enregistré la bande originale de la célébration : FOLKOCRACY est un disque avec des invités favoris, avec qui il chante ses chansons préférées qui l’ont accompagné en tant qu’enfant d’une famille folklorique. Les disques de Wainwright étant récemment devenus très opulents et complexes, l’artiste, dont la voix pure peut à elle seule déplacer des montagnes, se cache derrière Posen.

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Les albums n’étaient pas mauvais, mais ils manquaient d’immédiateté. Il est de retour par exemple sur “Heading For Home”, en original de Peggy Seeger, sur lequel l’animateur est épaulé par John Legend, ou sur le traditionnel “Down In The Willow Garden”, qu’il chante avec Brandi Carlile. C’est incroyable de voir comment ces vieilles chansons sombres correspondent à l’ambiance d’entendre les nouvelles aujourd’hui.

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Comme il est de coutume pour les anniversaires, Wainwright se présente également : avec Anohni, il réenregistre son classique « Going To A Town » dans une version sublime. Il interprète la pièce de Van Dyke Parks “Black Gold” sur un nouvel arrangement du compositeur avant que le célébrant entonne “Cotton Eyed Joe” au point culminant de la fête avec Chaka Khan – une très vieille pièce américaine écrite dans les années 90 par Rednex a été entraîné dans l’enfer de l’euro, mais ici, il est basé sur la version live de Nina Simone de 1959.

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