Critique : Oska :: Mon monde, mon amour, Paris


Oska semble toujours un peu surpris. Comme si elle venait de sortir de la maison pour la première fois, peut-être dans la fraîche rosée du matin, et qu’elle voyait tout cela pour la première fois ; les fleurs, les animaux, et enfin et surtout, l’amour. C’est d’abord et avant tout grâce à cette voix qui supplie et saute à la fois, qui est expressive mais qui ne voit jamais cette expressivité comme une fin en soi. Leur premier album MY WORLD, MY LOVE, PARIS suit maintenant les deux poignées de titres qui sont sortis au cours des deux dernières années et qui ont poussé des critiques excités à sortir de l’Autriche.

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Cela souligne leurs compétences de base, mais ouvre également quelques nouvelles portes. Compétences de base, car la force d’Oska est toujours la ballade pop populaire, installée entre Laurel Canyon et générique de film, on les entend ici à plusieurs reprises, la plus belle à côté du déjà bien connu « Woodstock » est peut-être « Misunderstood » avec ses cordes soupirantes et sa protection contre l’analyse de la psychologie de la cuisine.

Ailleurs, cependant, Oska accélère le rythme, mélangeant les rythmes et ses chansons dans des chansons comme « Starstruck » ou « Mona Lisa, A Girls Best Friend ». La meilleure est Oska, de son vrai nom Maria Burger, mais chaque fois que vous n’avez plus de telles pensées, quand la mélodie et l’esprit prennent le dessus, par exemple dans « ABC », une petite histoire sur trois lettres qui sont combinées en une grande finale, un peu comme le disque qui garde ses plus gros atouts pour la fin. Émouvant.

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