Critique : Le Hard Quartet :: LE HARD QUARTET


Le supergroupe autour de Stephen Malkmus et Jim White joue – surprise ! – Rock indépendant.

Le nouveau Stephen Malkmus ? Oui. Le nouveau Jim White, ça aussi. Emmett Kelly sur un nouveau disque, Matt Sweeney dans un nouveau projet, ça peut aussi se confirmer. Trois de ces musiciens sont auteurs-compositeurs, guitaristes et chanteurs, un est auteur-compositeur et batteur. Lorsque quatre grands se réunissent, on peut espérer que le tout sera plus grand que la somme des parties individuelles. Ce qui s’applique absolument ici, tout d’abord : c’est devenu une chose un peu difficile et si ce n’est pas aussi difficile que dans « Rio’s Song », « Jacked Existence » et la ballade sinueuse « Hell Highway », alors ce sont les États-Unis. -Indie rock des premières années et la partie rock de la communauté Americana, dans la foulée, pré et post grunge et souvent avec de copieux chants polyphoniques en plus.

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Les mélodies des chansons du quatuor sonnent comme si les musiciens déployaient les atouts avec leurs gènes rock’n’roll, et sur la table ensuite se trouvent des souvenirs de Guided By Voices, Pavement, Grandaddy ou Superchunk. Le Hard Quartet poursuit avec une fraîcheur exceptionnelle une époque où Donald Trump était au mieux connu comme un magnat de l’immobilier. Il y a aussi un sound-alike country rock, il porte le plus beau nom parmi ces 15 contributions : « Killed By Death ».

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