Critique : Jaakko Eino Kalevi :: CHAOS MAGIC


Sombre Facile ? Écoute des vagues ? Du jazz crypté ? Encore faut-il inventer son propre genre pour le Finlandais.

« À la dérive, j’ai pensé à toi » : Jaakko Eino Kalevi chante ces paroles dans le morceau (presque) du même nom, accompagné d’un rythme énergique soigneusement caché par un camouflage de doux chœurs de fond et de motifs jazz ludiques. . Cette ambivalence entre des mélodies apparemment douces qui rappellent parfois une écoute facile et une sous-structure dans laquelle cette légèreté est à nouveau brisée par toutes sortes de voyages électroniques dans l’espace a toujours été l’une des principales marques de fabrique du Finlandais, qui vit désormais à Athènes.

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Sur CHAOS MAGIC, le premier album depuis son déménagement, Kalevi expose encore plus ouvertement cette essence de marque. On entend des tubes enthousiasmants basés sur la dark wave et la synth pop comme « Hell & Heaven » ou « Palace In My Head » (avec Alma Jodorowsky – la petite-fille du cinéaste Alejandro Jodorowsky), mais dans lesquels il y a toujours de la place pour la lumière. L’artiste lui-même dit que ces enregistrements étaient spontanés et simples ; le dernier morceau s’intitule à juste titre « Let’s See How Things Go ». Ils vont bien, Jaakko, très bien.

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