Les défenseurs allemands ont notamment révélé de sérieuses faiblesses sur 90 minutes lors du match de la Ligue des Nations contre l’Angleterre. En deuxième période, cependant, deux offensives allemandes se sont présentées, de sorte que c’était au moins suffisant pour un match nul.
Marc-André ter Stegen : L’équipe d’Allemagne est toujours aussi brillante au poste de gardien. Le nouveau remplaçant ter Stegen a une fois de plus souligné cette thèse avec un jeu impeccable. Confiant dans le jeu de passes et rapide à réagir quand cela importait. Brillant à la 25e minute lorsqu’il s’est imposé lors d’un face à face contre Sterling. Irréprochable pour les buts encaissés.
Thilo Kehrer : Avec beaucoup de respect pour son adversaire direct Sterling au départ. Beaucoup de ballons de sécurité à cause de cela. Toujours devenu fort quand il est passé au jeu offensif depuis sa position d’arrière latéral. Un peu gênant, cependant, lorsqu’il a tenté de tomber contre le plumant Sterling au milieu de la première mi-temps et d’essayer de gagner un penalty.
Niklas Sule : Fort dans le jeu de construction, bon dans les duels. Avec des problèmes cependant dans les duels en cours face aux attaquants anglais. Et parce qu’ils ont eu à plusieurs reprises des opportunités de contre-attaque en première période en raison du jeu offensif allemand statique, Süle était souvent requis dans cette discipline précisément. Et toujours débordé.
Nico Schlotterbeck : Fondamentalement, le plan de Süle. Même un peu plus courageux lorsqu’il s’agit de passer au jeu offensif. Mais avec des problèmes similaires à ceux de Süle avec la contre-attaque britannique. Dans la seconde moitié après l’avance 2-0, perdre la trace du football de puissance anglais. Trop lent avant le penalty à 2:3.
Salle David : Les adversaires sont désormais conscients de la qualité de ses flancs. Ainsi, l’espace est marqué précisément lorsqu’il est orienté vers l’avant. Cela lui cause des problèmes, car il n’a pas les compétences techniques pour s’affirmer en tête-à-tête à l’extérieur. Il devait donc souvent traverser depuis le demi-terrain. Et c’était plutôt inoffensif. Remplacé après 68 minutes.
Josué Kimmich : Le stabilisateur du Bayern aimerait jouer avec ses atouts bien choisis en matière de comportement défensif. A peine travaillé contre l’Angleterre car l’adversaire s’est barricadé profondément dans le dos et Kimmich a simplement surjoué avec de longs ballons lors des contre-attaques rapides. Offensivement, Kimmich n’a tout simplement pas trouvé assez pour surprendre les Anglais. Et dans l’échange de coups tardif, sa stabilité et sa maîtrise du ballon ont fait défaut.
Ilkay Gündogan : En plus de Kimmich, le patron du milieu de terrain allemand. Bien plus imaginatif et courageux au passage que son voisin. Mais Gündogan ne savait pas non plus comment jouer les leaders allemands en position. Parce qu’il a essayé encore et encore à travers le centre – puis tout a été livré pendant longtemps. Comme les collègues après l’avance 2-0 sans la vue d’ensemble nécessaire.
Jonas Hofman : Le Gladbacher s’est également montré beaucoup moins efficace qu’espéré dans sa position offensive sur le couloir droit. Il a continué à pousser le ballon vers l’avant – puis il a manqué d’idées près de la surface de réparation adverse. Ses pertes de balles ont alors souvent servi à la contre-attaque anglaise. A été remplacé à la mi-temps.
Jamal Musiala : Bon départ du jeune, qui s’est montré agile et enthousiaste dans le premier quart d’heure. Ses solos ont toujours eu le potentiel de briser le mur défensif anglais. C’était également le cas avant que les Allemands ne marquent le 1-0 lorsque Maguire a frappé les jambes de Musiala dans la surface de réparation.
Leroy Sané : Encore un match international assez raté pour l’attaquant du Bayern. N’a pas pu trouver d’espace pour ses courses rapides, possession de plus en plus perdue, ce qui a donné aux Anglais les billets pour leurs contre-attaques. Et après avoir perdu le ballon, le langage corporel sans inspiration est le plus gros problème de Sane. Aussi ce soir. Sorti après 68 minutes.
Kai Havertz : Essayé, agile, très agile dans la position d’attaque la plus avancée. Une belle performance du légionnaire anglais, qui n’a pourtant pas trouvé de place pour son jeu pendant longtemps. Ça s’est amélioré en deuxième mi-temps. Havertz est resté très visible. Et a marqué un but de rêve pour porter le score à 2-0 avant même de le dépoussiérer pour le porter à 3-3.
Timo Werner (à partir de la 46e pour Hofmann) : D’abord effroyablement faible à la fin quand il a trébuché le ballon devant le gardien anglais à la 50e minute et un peu plus tard il a tiré au-delà du coin le plus éloigné. Mais ensuite – avec plus d’espace après la direction allemande – avec une solide préparation pour le 2-0 de Havertz.
Robin Gosens (à partir de la 68e pour l’espace) : Premier tombé avec des collègues après le 2-0, stabilisé dans les dernières minutes.
Serge Gnabry (à partir de 68 pour Sané) : La prochaine apparition malheureuse de l’attaquant du Bayern. Beaucoup trop hésitant face à Saka devant le 2 anglais : 2 – attaquant inefficace. Rayon d’espoir : Son tir à longue distance avant le 3:3.
Thomas Muller (à partir de la 79e pour Musiala) : A peine eu des scènes, à ne pas noter.