Critique : Hôtel Rimini :: SEUL PARMI LES MEUBLES


Le cœur sur la langue et le visage dans le vent : la pop indie de Leipzig est à la fois brute et universelle.

« Son nom était rarement – ​​et très peu – retenu » : Julius Forster montre très tôt ce qu’il représente avec son groupe Hotel Rimini. Les habitants de Leipzig, dont Paul Pötsch, l’homme des décombres, peignent de petits tableaux qui ne deviennent jamais trop concrets, même s’ils zooment de très près, utilisent des jeux de mots mais évitent l’enfer des jeux de mots. Ceux-ci sont ancrés dans une musique qui défie la terminologie, qui est parfois formée au jazz ou à la chanson, mais qui valorise toujours trop la forme de la chanson pop pour paraître maniérée.

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Alors que des chansons comme « Jubel Trubel Eiitkeit » durent un peu moins de trois minutes et comportent une batterie entraînante, elles rappellent le post-punk, ailleurs, par exemple dans « Swedish Curtains », le violon pleure des larmes salées. Element Of Crime et Rio Reiser sont souvent utilisés comme paramètres de comparaison ; Cela fonctionne, mais nécessite quelques notes de bas de page. Dans l’Hôtel Rimini, des passages instrumentaux sont toujours inclus dans l’image, mais le ton saisissant de Ton Steine ​​​​Scherben est complètement absent. Heureusement, car vous devriez mettre vos propres idées révolutionnaires dans ces chansons.

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