Critique : Friedberg :: REINE DE L’ENTRAÎNEMENT HARDCORE


La chanteuse et guitariste Anna Wappel n’est certainement plus une page vierge. Elle a lancé sa carrière solo, d’abord dans le secteur pop-rock et folk, sous le nom d’Anna F. via Myspace en 2009, suivie de succès dans les charts, de récompenses de l’industrie et de premières parties de Lenny Kravitz et James Blunt. En 2019, l’Autrichienne, désormais basée à Berlin et à Londres, a finalement élargi sa vision musicale au groupe international et entièrement féminin Friedberg (du nom de la patrie styrienne de Wappel), qui présente aujourd’hui son premier album studio HARDCORE WORKOUT QUEEN.

Amazone

Vous trouverez ici du contenu de YouTube

Afin d’interagir avec ou d’afficher du contenu des réseaux sociaux, nous avons besoin de votre consentement.

Le fait que le britannique « The Guardian » ait fait l’éloge du son du quatuor en faisant l’éloge de comparaisons telles que « le dance punk le plus cool après LCD Soundsystem » n’est pas tout à fait hors de propos, même s’il est en deçà de la portée élargie du premier album. . Parce que Friedberg pimente sa pop indie aérienne et infusée d’électro avec beaucoup d’attrait et même une utilisation agréable de la cloche. De plus, l’interaction de guitare réduite mais mélodiquement efficace avec Emily Linden crée de jolies figures qui, comme dans l’ouverture « 100 Times », créent presque une atmosphère de l’époque Pulp-to-HIS’N’HERS ou sur celle du « I » initialement acoustique. Parfois Do (But Mostly Might) » devient un exercice de doigts psychédélique en mode Kula Shaker.

Vous trouverez ici du contenu de Spotify

Afin d’interagir avec ou d’afficher du contenu des réseaux sociaux, nous avons besoin de votre consentement.

Vous pouvez découvrir quels albums sortiront en novembre 2024 via notre liste de sorties mensuelles.



ttn-fr-29