Le débat au sein de la Chambre porte sur la confiance accordée à M. Wilders, à la suite de déclarations passées contraires à l’État de droit. Il indique lui-même que le passé est révolu et qu’il travaillera sur l’avenir, en tenant compte de l’État de droit. Malheureusement, le cerveau humain ne fonctionne pas de cette façon. Les expressions négatives persistent beaucoup plus longtemps que les expressions positives et des expressions plus positives sont également nécessaires pour compenser le négatif. C’est ce qu’on appelle le biais de négativité. Je crains que l’assurance de M. Wilders n’ait d’effet qu’une fois que les négociations auront progressé et que la positivité sera réellement visible dans la pratique. M. Wilders ne coopérera probablement pas d’avance, même si je garde espoir. Espérons que les parties non négociatrices pourront également franchir cet obstacle et lui donner du temps.
Yassin_B
13 décembre 2023 à 11h41
Comment ça, passé ? Ses pensées n’ont pas changé, elles sont juste dans le frigo. Il est maintenant, à juste titre, jugé pour ce « passé ». S’il n’y avait eu qu’une seule fausse déclaration, vous pourriez peut-être vous en sortir avec des excuses. Mais cet homme a dit tellement de choses fausses et par conviction, donc cela n’a aucun sens.
ErikdV_
13 décembre 2023 à 11h42