Coupe du monde, l’Italie des merveilles est à la recherche du meilleur butin de tous les temps

A Melbourne, après avoir égalé le record de médailles d’or (5), les Azzurri visent 16 podiums comme en 2021. Margherita est là

Aujourd’hui, les championnats du monde en petit bassin se terminent à Melbourne. Dans la nuit avec les dernières batteries, à 9h30 (live Rai Sport et Sky Sport) avec les finales. Le programme comprend le 200m nage libre femmes, le 200m nage libre hommes, le 200m dos femmes (Panziera), le 200m dos hommes, le 4x100mx D, le 4x100mx U avec leurs quatuors respectifs. Les finales, en attendant les dernières manches, concernent : 100 papillon D, 100 papillon U (Rivolta), 50 brasse D (Pilato), 50 brasse U (Martinenghi-Ceccon), 200 dos D, 200 dos U, 200 nage libre D, 200 m libre U, 4x100mx D, 4x100mx U.

Dos crawlé

Margherita Panziera, qui en bref ne revendique qu’une médaille de bronze au relais 4×100 quatre nages à Hangzhou 2018 (celle de la fameuse 50e médaille de la Foi) pourra se battre pour le podium après avoir vu les manches qui la placent à la 4e place : pour la Venetian, une 2’02 »88 dans la lignée des trois autres qui la précèdent, à savoir Curzan (USA) 2’02 »05, l’olympienne McKeown 2’02 »54 et la Canadian Masse 2’02 »54. Margherita a un record italien de 2’01 »45. Lorenzo Mora prend les mensurations de Ryan Murphy et découvre que lui aussi est quatrième en 1’49″79, après les manches du 200 dos masculin, derrière la paire américaine (Casas 1’49″46, Murphy 1’49″71) et la française Mewen Tomac, deuxième en 1’49 »61. Lorenzo cherche sa revanche après l’argent du 100m et le fiel du 50m conclu sous le podium. Lollo a un record italien de 1’48 »71.

Courses de relais

Le 4×100 m mixte féminin bleu est neuvième et premier de ceux exclus par la Chine (3’54″57 contre 3’55″62) : lancé par Silvia Scalia 57″64, qui avait remplacé de troisième, alors les bleus n’ont-ils pas réussi à rester proche des Chinois pour la quatrième position et rester à l’écart. Pilato n’a pas concouru en vue de la finale du 50 et Di Pietro, affaibli depuis des jours. Alors les bleus : dos Scalia 57″64, brasse Franceschi 1’06″77, dauphin Cusinato 57″94, libre Cocconcelli 53″27. Les USA sont premiers en 3’47 »67, devant l’Australie 3’48 »90 et le Canada 3’51 »40.

Autres piles

Sur 200 m nage libre, la Néerlandaise Marrit Steenbergen, médaille d’or européenne du 200 m nage libre à Rome (le prix a été décerné par Fede Pellegrini), qui établit le premier contre-la-montre de la piscine de Melbourne en 1’52″83 : en finale le duel s’annonce serré avec la titulaire et recordman sortant, Siobhan Haughey, auteur de 1’53 »39. Ton Dean, olympien en titre, prend le couloir numéro 4 du 200 m nage libre messieurs : le Britannique compte déjà 31 centimes d’avance sur le japonais Matsumoto, avec pour sixième fois également le champion en grand bassin, le deb David Popovici, sixième en 1′ 42″ 31, devant l’Américain Kieran Smith neuvième en 1’42 »54, et 16e Matteo Ciampi, qui nage en 1’43 »51 (et a un temps personnel de 1’42 »76).

Dernières courses

C’est une journée très importante pour la brasse, pour le relais 4×100 quatre nages, pour les doseurs Mora et Panziera, pour la défense du titre de Matteo Rivolta. En attendant la collection de médailles historiques, nous pouvons faire une comparaison avec les éditions précédentes, une comparaison qui témoigne de l’extraordinaire croissance de la natation bleue qui a hier égalé le record de butin d’Abu Dhabi pour le nombre d’or (5) et espère aujourd’hui évidemment les dépasser, également pour le nombre total de podiums : nous sommes à 12 (5-5-2), il manque 4 médailles pour « égaliser » et éventuellement dépasser le décompte.



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