« Connie Witteman a interdit à son ex de travailler, elle ne trouve pas ça chic »


Connie Witteman a interdit à son ex-amant Eugène van Dun d’accepter un travail régulier, dit-il lui-même dans le Story. « Elle s’est placée au-dessus des gens qui doivent travailler tous les jours. »

© Showniews

Ils sont impliqués dans une bataille juridique depuis des années : Connie Witteman et Eugène van Dun. Les deux hommes travaillaient ensemble dans l’immobilier et après la rupture, un conflit a éclaté sur le règlement financier de leurs projets. Comment se sont-ils retrouvés ensemble dans l’immobilier ? Par faim d’argent, estime Eugène.

La vie de luxe de Connie

Selon Eugène, Connie aurait reçu six millions d’euros après son divorce avec feu Hans Breukhoven. «À sa grande surprise, qui était une surprise de la part de Hans, elle a dû payer des droits de donation. Initialement 3 250 000 euros. Grâce à mes efforts, j’ai pu réduire ce montant à environ 1,6 million d’euros auprès du fisc.

Tout est bien qui finit bien? Non. Il continue dans le Histoire: « A cette époque, Connie devait également payer environ 500 000 ou 600 000 euros d’impôts et déposer sa prévoyance retraite, d’une valeur de 750 000 euros. Bref : il ne restait plus rien. Du moins, pas assez pour maintenir sa vie de luxe.

Ce n’est pas un travail ordinaire

Et Connie voulait conserver cette vie luxueuse. « Connie a toujours prétendu qu’elle était si riche, mais ce n’était pas le cas. Ce n’était pas aussi beau qu’il y paraissait.

Eugène aussi voulait apporter quelque chose, mais : « Elle ne m’a pas laissé travailler pendant cette période, c’était dommage. Connie vivait à un certain niveau. Elle se plaçait au-dessus des gens qui devaient travailler chaque jour pour gagner leur argent. « Ce n’est pas chic », a-t-elle littéralement dit.

Propriété

Et c’est ainsi que les deux se sont retrouvés dans l’immobilier. « L’accord avec Connie était le suivant : j’apporte les bâtiments, je les entretiens et les rénove, Connie finance et si nous les vendons après cinq ans, nous partageons les bénéfices. »

Eh bien, cela ne s’est pas produit et c’est de cela qu’il s’agit dans tout le conflit. « Connie et moi étions fiancés à l’époque, nous n’avons donc pas consulté un avocat ou un notaire pour ces transactions. J’aurais pu faire mieux.



ttn-fr-48